Conclusion de la dissertation : la méthode
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Si tu es comme beaucoup de mes élèves, tu penses que la conclusion de dissertation a pour but de résumer les étapes de ton développement avant de proposer une ouverture.
Or cela n’est pas suffisant !
Certes, la conclusion fait le bilan des étapes de ton raisonnement, mais son rôle va au-delà : il s’agit du paragraphe final de ton devoir qui doit clore le débat soulevé dans ta copie.
Ta conclusion doit ainsi faire apparaître une réponse finale ferme et définitive au problème posé en introduction .
Pour cela, ta conclusion doit suivre 3 étapes, qui permettent d’aller du particulier au général :
1 – Rappelle les étapes de ton développement 2 – Propose une réponse ferme et définitive à la question 3 – Fais une ouverture
1 – Rappelle les étapes de ton développement
Dresse un bilan (ou rédige une courte synthèse) des étapes de ton développement. Par exemple, si tu as suivi un plan dialectique, rappelle la thèse, l’antithèse et la synthèse.
Dans la mesure du possible, ne répète pas ton annonce de plan à l’identique. Utilise des synonymes pour reformuler l’essentiel de ton raisonnement de façon originale.
2 – Propose une réponse ferme et définitive à la question
C’est là-dessus que tu es attendu !
Ton introduction a soulevé une problématique. Il est temps d’y répondre.
Normalement, tu as développé ta réponse finale dans ta troisième partie. Il te suffit donc de la reprendre de façon ferme et concise pour achever ta dissertation.
Répondre à la question ne signifie pas donner un avis personnel : « Moi, je pense que… ».
Ta réponse n’est certes pas neutre puisqu’il s’agit d’une réponse personnell e, mais elle doit être présentée comme une réponse réfléchie, comme l’aboutissement de ton raisonnement.
N’utilise jamais la première personne (« je ») : le « nous » ou le « on » impersonnel doivent être présents jusqu’à la dernière étape de ta dissertation.
3 – Propose un élargissement
L’élargissement (ou ouverture) est une phrase qui ouvre la réflexion sur une perspective plus générale . C’est un moyen de montrer que la discussion pourrait se prolonger.
Pour trouver une ouverture, passe en revue les possibilités suivantes :
- Ta réponse au sujet fait-elle émerger d’autres problèmes littéraires ?
- Ta réponse amène-t-elle à s’interroger sur un nouveau sujet ?
- La question se pose-t-elle dans un autre genre ou domaine artistique (peinture, cinéma, musique…) ?
- Peux-tu revenir aux notions de l’objet d’étude, en proposant un autre regard sur ce dernier ?
- Peux-tu ouvrir sur une citation d’auteur issue de l’oeuvre au programme ?
Comme pour l’accroche en introduction, ton élargissement doit absolument éviter les généralités trop éloignées de ton sujet .
Par exemple, la question « Mais alors, quel est le but de la littérature ? » est bien trop large : c’est une ouverture qui décrédibiliserait ta copie.
Propose une ouverture sur un sujet proche de celui traité dans ta dissertation . Le but est d’ouvrir le champ de la réflexion mais sans passer du coq à l’âne !
Au baccalauréat, il n’est pas toujours évident pour les lycéens de 1re de trouver une ouverture pertinente.
Si tu n’as que des idées d’ouverture vagues, banales ou clichés, mieux vaut sauter cette étape plutôt que de faire du remplissage maladroit qui pourrait laisser une mauvaise impression à ton correcteur.
3 formules pour réussir tes ouvertures :
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Pour exceller au bac de français, teste ces 3 formules pour tes ouvertures en conclusion 🚀 Elles fonctionnent pour le commentaire et la dissertation. L’ouverture est attendue dans la conclusion: elle souligne ta culture littéraire et laisse ton correcteur sur une bonne impression. 📚✨ #bacdefrancais #conclusion #dissertation #commentaire #Apprendresurtiktok #profdefrançais #bonnenote
♬ son original – Amélie Vioux | Bac de français
Comment rédiger la conclusion d’une dissertation ?
Quelle que soit la matière (français, philosophie, économie, histoire-géo…), la conclusion est obligatoire et se rédige de la même façon.
Il s’agit toujours d’un paragraphe unique de 8-10 lignes qui débute par un alinéa .
La conclusion est isolée du reste du devoir par deux sauts de ligne .
Il est ainsi inutile de commencer ta conclusion par une formule telle que « Pour conclure », « En conclusion » : ces expressions sont lourdes et redondantes puisque le professeur identifie immédiatement ta conclusion qui se détache visuellement du développement . Il sait donc que la dernière partie de ton devoir correspond à la conclusion.
Afin de laisser une impression favorable à l’examinateur, soigne particulièrement l’ orthographe et la syntaxe .
La tentation est grande de la « bâcler » la conclusion en quelques minutes, avant la fin de l’épreuve, mais tu as tout intérêt à la préparer sérieusement au brouillon pour te démarquer avantageusement des autres copies.
N’oublie pas que la conclusion est la finalité de ton devoir et qu’elle sera lue attentivement par ton enseignant juste avant qu’il n’appose la note finale !
Exemple de conclusion de dissertation
Voici un exemple de conclusion de dissertation pour le sujet « Le romancier doit-il nécessairement faire de ses personnages des êtres extraordinaires ? » :
Le héros hors du commun, extraordinaire, fascine indéniablement le lecteur, mais le personnage ordinaire suscite également son intérêt car il lui offre un miroir plus plausible et réaliste. Il convient toutefois de sortir de l’opposition binaire entre personnage extraordinaire et ordinaire car cette opposition ne permet pas de rendre compte de la complexité du personnage de roman et des attentes du lecteur qui s’intéresse à la singularité de chaque personnage. [Je récapitule les jalons de mon raisonnement et donne ma réponse finale ferme et définitive] . C’est ce qui fait dire à André Malraux « Un personnage n’est pas un individu en mieux ». Comme dans la vie réelle, chaque trajectoire individuelle, ordinaire ou extraordinaire, peut susciter l’intérêt pour peu qu’on essaie de l’appréhender dans sa complexité et sa singularité. [ouverture sur une citation]
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♦ Analyser un sujet de dissertation (méthode en 5 étapes) ♦ L’introduction de la dissertation ♦ Le plan de la dissertation ♦ Exemple de dissertation
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Qui suis-je ?
Amélie Vioux
Professeure et autrice chez hachette, je suis spécialisée dans la préparation du bac de français (2nde et 1re).
Sur mon site, tu trouveras des analyses, cours et conseils simples, directs, et facilement applicables pour augmenter tes notes en 2-3 semaines.
Je crée des formations en ligne sur commentairecompose.fr depuis 14 ans.
Tu peux également retrouver mes conseils dans mon livre Réussis ton bac de français 2025 aux éditions Hachette.
J'ai également publié une version de ce livre pour les séries Techno ici.
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- Comment faire une conclusion ?
- La dissertation : méthode et exemple de conclusion
- Commentaire de texte - commentaire composé : méthode et exemple de conclusion
Trop souvent négligée et perçue comme peu importante, la conclusion d’un commentaire de texte ou d’une dissertation de philo a pour objectif de récapituler le raisonnement que tu as développé dans ta copie. Autrement dit, de faire un bilan. Dans l’idéal, tout cela ne doit pas te prendre plus d’une quinzaine de minutes. Attention cependant à ne pas bâcler cette dernière étape, car c’est le dernier souvenir que tu laisses à ton correcteur. Connecteurs logiques, réponse à la problématique et ouverture : GoStudent te guide pas à pas pour faire une bonne conclusion qui te fera gagner des points !
1 - Comment faire une conclusion ?
Quelles sont les parties d'une conclusion .
La conclusion comporte généralement trois parties :
1 - Le récapitulatif des idées principales que tu as développées dans les deux ou trois grandes parties de ta rédaction.
Imagine que tu sois au lycée et que tu doives rédiger la conclusion d’un commentaire composé sur un extrait du livre Les Misérables , de Victor Hugo . La première partie de ta conclusion pourrait ressembler à ceci :
« Après avoir montré comment Victor Hugo utilise de nombreuses figures de style dans ses descriptions de la réalité historique, nous avons vu que ce procédé littéraire contribue à transformer les représentations du lecteur. »
À lire aussi : Le top 5 des livres pour ados
2 - Dans un second temps, il faut répondre à la problématique que tu as soulevée dans l’introduction.
Pour rappel, la problématique est l’idée générale, l’idée directrice qui sert de fil conducteur à toute ta rédaction et à partir de laquelle tu construis ton argumentation. Pour réussir une dissertation ou un commentaire de texte, chaque paragraphe rédigé dans tes différentes parties doit répondre progressivement à la problématique. Sinon c’est le hors-sujet. ⛔️
Dans l'introduction notre problématique est la suivante :
« Nous nous demanderons si l’auteur se contente de faire le récit de la réalité ou s’il fait exister sa propre vision grâce à sa gestion des procédés narratifs. »
Dans la conclusion nous pourrions dire :
« Il apparaît donc clairement que l’essentiel, pour Victor Hugo, n’est pas de décrire la réalité historique, mais d’encourager une transformation de la société en entraînant une prise de conscience des injustices sociales. »
Si tu ne vois pas bien comment introduire la problématique, je t’invite à lire notre article qui t’explique en détail comment réussir une introduction en dissertation .
3 - Dans un dernier temps, tu dois rédiger une phrase finale d’ouverture . Nous en parlerons plus en détail dans le prochain paragraphe.
Comment commencer une conclusion ?
Maintenant que tu sais que la première partie d’une conclusion parfaite consiste à dégager les idées principales de ton travail, tu te demandes peut-être comment commencer.
En vérité, c’est très simple. Il y a plein de tournures que les professeurs aiment beaucoup. Voici quelques exemples :
- Tout au long de ce travail, nous avons montré que l’auteur cherche à ……. puis nous avons vu comment ….. enfin, nous pouvons dire que …….
- Dans un premier temps nous avons examiné la façon dont l’auteur ….. Dans un second temps ….. Dans une dernière partie …..
- Dans la première partie de notre travail, nous avons montré comment ….. Par la suite, il est apparu que l’auteur ……
- Comme nous l’avons vu dans un premier temps, Victor Hugo ….. de plus, nous avons montré que l’utilisation des figures de style…. Enfin …..
Tu vois que l’essentiel est de rendre la lecture fluide en utilisant des connecteurs logiques : « enfin, puis, dans un second temps, par la suite »
Qu'est qu'une ouverture dans une conclusion ?
Franchement, à quoi sert l’ouverture ? À donner un petit côté intello à ton travail et à montrer ta culture générale . Les profs adorent ça. Cet « élargissement » est tout simplement une nouvelle question que tu te poses à la fin de ton travail.
Concrètement, vois l’ouverture comme si tu donnais une nouvelle idée de sujet de dissertation à ton prof.
Revenons à notre Victor Hugo. Après avoir résumé ton travail et répondu à la problématique, tu peux élargir le sujet en posant la question suivante :
« Nous présenter une nouvelle vision du monde qui nous touche et nous fait réfléchir, n’est-ce pas justement l’intérêt de la littérature ? »
Le prof sera content et il pourra même en faire un sujet pour son prochain devoir. 👍
2 - La dissertation : méthode et exemple de conclusion
Comment faire une conclusion de dissertation .
Qu’il s’agisse d’une rédaction de niveau collège en histoire-géographie, d’un essai au Bac de français ou de la conclusion d’une dissertation de philo en terminale, la méthodologie est la même. Seuls changent le nombre de mots et la qualité du style d’écriture.
À lire aussi : Comment rédiger un essai parfaitement ?
La mise en forme est importante. Il faut sauter au moins deux lignes entre la fin de ta dernière partie et le début de ta conclusion. Les trois paragraphes de ta conclusion doivent être visibles. Il faut revenir à la ligne entre chacun d’entre eux et essayer de faire des transitions pour soigner la formulation et retenir l’attention du lecteur. 👨🏫
Comme pour l’intro, le mieux est de commencer au brouillon et de prendre le temps de la relecture. La qualité de l’expression écrite est importante, il faut donc éviter les fautes d'inattention !
Exemple de conclusion dissertation de philo
Sujet : Être libre, cela signifie-t-il faire tout ce que l’on veut ?
1 - Bilan récapitulatif et principaux mots-clés :
« Comme nous l’avons montré dans un premier point, la vision humaniste des penseurs de la renaissance décrit l’homme comme un individu libre, grâce à sa raison et à sa faculté de jugement. Par opposition à une vision religieuse, ce libre-arbitre le rend responsable de ses actes et de son destin, ce que nous avons abordé dans un second temps. Cependant, la psychologie montre que l’Homme obéit aussi à des causes qui échappent à sa volonté(l’inconscient, les normes sociales, etc.) »
2 - Réponse à la problématique :
« La capacité à prendre des décisions librement semble donc être une illusion. Cela pose donc la question de la responsabilité individuelle lorsqu’un individu est jugé coupable d’actes illégaux ou immoraux . »
3 - Ouverture :
« Ainsi, on pourrait se poser la question de savoir dans quelle mesure il est possible de concilier justice et liberté. La loi n’est-elle pas une entrave à la liberté de chacun ? »
Exemple de conclusion dissertation français
Selon le sujet, la dissertation de français peut suivre plusieurs types de plans :
- Un plan dialectique (à éviter généralement) : thèse / antithèse / synthèse.
- Un plan analytique : description et explication d’une situation, analyse des causes et des conséquences.
- Un plan thématique (le meilleur) : il s'agit de développer une argumentation pour répondre progressivement à la question.
Attention, la conclusion de ta dissertation doit reprendre la même structure que ton plan. ⚠️
Sujet : La poésie de Guillaume Apollinaire s’invente-t-elle en rejetant le passé ?
« Nous avons vu qu’Apollinaire s'affranchit des règles de la poésie classique, aussi bien à travers l’absence de ponctuation que par la modernité du choix de ses sujets poétiques. Cependant, nous avons vu qu’il maintient l’usage traditionnel des quatrains. Cela semble indiquer une alliance entre l’ancien et le nouveau. »
« Plus qu’une rupture radicale avec le passé, Apollinaire semble explorer de nouveaux horizons poétiques sans pour autant abandonner l'héritage des anciennes formes lyriques. »
« Ne devrait-on pas considérer l'œuvre de Rimbaud comme étant celle qui ouvre résolument le chemin de la modernité ? »
3 - Commentaire de texte - commentaire composé : méthode et exemple de conclusion
Comment faire la conclusion d’un commentaire .
Le commentaire de texte, en philo ou en français est un exercice différent de la dissertation.
Le but est de mobiliser tout le vocabulaire littéraire spécifique que tu connais pour décrire la langue utilisée par l’auteur (métaphore, hyperbole, oxymore, figures de style, etc.). Sans faire de paraphrase, tu dois expliquer comment l’auteur s’y prend pour produire des effets sur le lecteur.
À lire aussi : Le succès des métaphores
Le fond et la forme sont donc indissociables. Il faut justement montrer comment la forme joue sur le fond. C’est-à-dire quels sont les procédés littéraires et comment le style de l’auteur impacte le lecteur.
Comme pour une composition d’histoire, la conclusion du commentaire de texte (conclusion commentaire composé) s’appuie sur l’analyse de l’extrait étudié.
Exemple conclusion commentaire de texte
Sujet : Georges PEREC (1936-1982), Les Choses (1965) – extrait du chapitre 2
« Dans un premier temps, nous avons étudié comment le cadre et le décor (meubles, décoration, lieu de vie) fonctionnent comme un révélateur des personnages. Puis nous avons vu que l’emploi des déterminants possessifs montre que les personnages sont possédés par leur appartement et non l’inverse. Enfin, le rythme des phrases et l’usage du conditionnel insistent sur l’étendue des possibles. »
« L’ouvrage de cet auteur reprend donc les codes du genre romanesque tout en y ajoutant une écriture poétique qui sculpte l’image des personnages. »
« Cette manière de poser un cadre qui semble doté d’une individualité propre et qui agit en retour sur les personnages n’est-elle pas influencée par l’écume des jours, de Boris Vian et le monde fictif qu’il y décrit ? »
Et si tu te demandes comment rédiger une conclusion de TPE , et bien tu peux appliquer exactement la même méthode !
Quoi qu’il arrive, n’hésite pas à t’entraîner sur des Annabac et à faire appel à nos professeurs particuliers . Ils sont à ton service pour te donner les conseils méthodologiques dont tu as besoin et pour t'aider à rédiger une conclusion parfaite . Il te suffit de laisser ton nom, ton prénom et ton adresse mail pour profiter d’une première leçon gratuite !
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Comment faire une conclusion de dissertation ?
Dissertation
septembre 27, 2023
En tant qu’auteur passionné, je suis profondément attiré par le monde des connaissances académiques et j’éprouve une immense joie à aider les étudiants dans leur parcours d’apprentissage. J’ai trouvé ma vocation en tant qu’écrivain sur le site “Redaction-de-Memoire” , où je peux partager ma passion en publiant un contenu intéressant et enrichissant qui contribue au succès académique des lecteurs.
La conclusion d’une dissertation est bien plus qu’une simple formalité. Elle constitue le dernier chapitre de votre travail, où vous synthétisez vos idées, répondez à la problématique posée et ouvrez des perspectives pour de futures réflexions. Dans cet article, nous vous guiderons à travers les étapes essentielles pour rédiger une conclusion percutante, en soulignant son importance dans le cadre de votre recherche académique. Que vous soyez novice ou expérimenté, nos conseils vous permettront de clore votre dissertation de manière convaincante.
Table des matières
- Qu’est-ce qu’une conclusion d’une dissertation ?
La conclusion d’une dissertation : à quoi sert-elle ?
Quelles parties sont incluses dans la conclusion d’une dissertation , comment adapter votre conclusion au type de dissertation, outils et ressources pour améliorer votre conclusion, comment rédiger une bonne conclusion de dissertation , exemple complet de conclusion de dissertation.
- Commandez votre mémoire dès maintenant : Remplissez notre formulaire en ligne !
Qu’est-ce qu’une conclusion d’une dissertation ?
La conclusion d’une dissertation est la dernière partie de votre travail de recherche. Elle sert à résumer vos idées principales, à apporter une réponse à la problématique posée et à ouvrir des perspectives futures. Une conclusion bien rédigée doit laisser une impression durable sur vos lecteurs en soulignant l’importance de votre recherche et en mettant en valeur vos contributions.
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La conclusion d’une dissertation joue un rôle essentiel dans votre travail académique. Elle permet de :
- Synthétiser vos idées : Récapitulez les points clés que vous avez développés tout au long de votre dissertation.
- Répondre à la problématique : Fournissez une réponse claire et argumentée à la question centrale de votre travail.
- Ouvrir de nouvelles perspectives : Invitez vos lecteurs à poursuivre la réflexion sur le sujet et à explorer de nouvelles pistes de recherche.
N’hésitez pas à nous demander si vous avez besoin de plus d’informations ou d’autres sections pour compléter l’article.
La conclusion d’une dissertation doit s’adapter au type de dissertation que vous rédigez. En effet, selon la nature de votre travail académique — qu’il s’agisse d’une dissertation argumentative, explicative ou analytique — la structure et l’approche de la conclusion varient.
- Dissertation argumentative : Dans ce type de dissertation, la conclusion doit réaffirmer votre position tout en consolidant les arguments avancés dans le corps du texte. Il est important d’offrir une synthèse claire qui souligne la validité de votre thèse. Terminez par un appel à la réflexion ou une ouverture sur un débat plus large en lien avec votre sujet.
- Dissertation explicative : Ici, la conclusion sert à récapituler les faits et à démontrer comment ceux-ci répondent à la problématique posée. Soyez attentif à ne pas introduire de nouvelles idées dans cette partie. Il est également crucial de mettre en évidence les points clés qui ont permis de clarifier le sujet.
- Dissertation analytique : Pour une dissertation analytique, la conclusion doit mettre en avant l’interprétation que vous avez faite des données ou des textes analysés. Elle peut offrir une réflexion critique ou ouvrir la voie à de nouvelles perspectives de recherche. Dans ce cas, la conclusion vise à montrer comment votre analyse contribue à une meilleure compréhension du sujet traité.
Quel que soit le type de dissertation, votre conclusion doit offrir une synthèse cohérente, résumer vos idées principales et donner une impression d’achèvement tout en restant en phase avec l’objectif initial de votre travail.
Rédiger une conclusion percutante peut parfois sembler difficile, mais de nombreux outils et ressources sont disponibles pour vous aider à perfectionner cette partie cruciale de votre dissertation. Voici quelques outils pratiques et ressources à considérer :
- Logiciels de correction : Utilisez des outils comme Grammarly ou Antidote pour vérifier l’orthographe, la grammaire et la syntaxe de votre conclusion. Ces logiciels permettent de corriger les erreurs courantes et d’améliorer la clarté de votre texte.
- Générateurs de plans : Des plateformes telles que MindMeister ou Evernote peuvent vous aider à organiser vos idées et à structurer la conclusion de manière logique. Ces outils sont particulièrement utiles pour éviter les répétitions et garantir une progression fluide des idées.
- Ressources académiques en ligne : Des sites comme Purdue OWL ou Universalis offrent des guides détaillés sur la rédaction de dissertations et de conclusions académiques. Vous pouvez y trouver des exemples concrets, des conseils sur la formulation et des techniques pour rendre votre conclusion plus efficace.
- Outils de reformulation : Si vous avez du mal à trouver les mots justes, des outils comme Quillbot peuvent vous aider à reformuler vos phrases pour les rendre plus percutantes et précises.
- Ateliers de rédaction : De nombreuses universités et plateformes en ligne proposent des ateliers gratuits ou payants dédiés à la rédaction académique. Ces ateliers peuvent vous fournir des conseils personnalisés sur la façon d’améliorer la qualité de vos conclusions.
En utilisant ces outils et ressources, vous pourrez non seulement renforcer la qualité de votre conclusion, mais également vous assurer qu’elle répond aux attentes académiques et laisse une impression durable sur vos lecteurs.
Pour rédiger une bonne conclusion de dissertation, il est essentiel de prendre en compte certains aspects cruciaux. Suivez ces astuces pratiques pour créer une conclusion percutante qui laissera une forte impression sur vos lecteurs.
- Soyez clair et concis : La conclusion de votre dissertation doit être claire et concise. Évitez les longues phrases complexes qui pourraient embrouiller vos lecteurs. Optez pour un langage simple et accessible, de manière à ce que chacun puisse comprendre facilement vos idées. Rappelez-vous que la conclusion est le dernier élément que vos lecteurs liront, donc il est crucial de la rendre facile à assimiler.
- Utilisez des exemples concrets : Pour rendre votre conclusion plus crédible et convaincante, appuyez vos arguments avec des exemples concrets issus de votre recherche. Les exemples concrets permettent d’illustrer vos points de manière tangible et d’appuyer vos affirmations. Cela renforce la validité de vos propos et montre que vous avez réalisé une recherche approfondie. Par exemple, si votre dissertation traite des effets des changements climatiques sur la biodiversité, vous pouvez inclure des exemples d’études scientifiques récentes ou des cas concrets de disparition d’espèces pour étayer votre conclusion.
- Terminez sur une note mémorable : La conclusion d’une dissertation doit laisser une impression durable sur vos lecteurs. Évitez de terminer de manière abrupte. Au lieu de cela, cherchez à marquer les esprits en reformulant votre document de manière percutante ou en lançant une réflexion finale intrigante. Par exemple, vous pouvez conclure en soulignant l’impact potentiel de votre recherche sur la société ou en invitant vos lecteurs à considérer les implications à long terme de vos découvertes.
En appliquant ces astuces dans la rédaction de votre conclusion de dissertation, vous serez en mesure d’achever votre travail académique de manière convaincante et professionnelle. Une conclusion bien pensée renforcera la pertinence de votre recherche et laissera une impression positive sur vos lecteurs, complétant ainsi votre dissertation sur une note satisfaisante.
Voici l’exemple complet de conclusion d’une dissertation sur le sujet « L’impact des réseaux sociaux sur les relations interpersonnelles » .
Titre : La conclusion d’une dissertation sur « L’impact des réseaux sociaux sur les relations interpersonnelles. »
Après avoir analysé en profondeur l’impact des réseaux sociaux sur les relations interpersonnelles, il est clair que ces plateformes numériques ont considérablement modifié notre façon de communiquer et d’interagir avec les autres. Notre recherche a mis en évidence à la fois les aspects positifs et négatifs de cette transformation sociale.
D’une part, les réseaux sociaux ont permis de rapprocher les individus, de connecter des personnes vivant à des milliers de kilomètres les unes des autres, et de créer des communautés virtuelles autour de centres d’intérêt communs. Ces plateformes offrent également des opportunités de renforcer les liens avec nos proches, en permettant un échange constant et instantané de messages, de photos et de vidéos. Ainsi, elles ont contribué à faciliter la communication à travers le monde et à surmonter les barrières géographiques.
D’autre part, nous avons aussi constaté que l’omniprésence des réseaux sociaux peut avoir des conséquences négatives sur les relations interpersonnelles. L’abus d’utilisation peut entraîner une dépendance excessive aux appareils électroniques, au détriment des interactions en face-à-face. Les individus peuvent être confrontés à des problèmes de confidentialité et de sécurité, car les informations personnelles sont souvent partagées en ligne sans discernement. De plus, les réseaux sociaux peuvent créer un sentiment de comparaison sociale et d’insatisfaction, en exacerbant les sentiments d’anxiété et d’isolement chez certains utilisateurs.
En conclusion, l’impact des réseaux sociaux sur les relations interpersonnelles est complexe et nuancé. Ces plateformes ont incontestablement révolutionné notre façon de communiquer et de créer des liens sociaux. Cependant, il est important de reconnaître que leur utilisation nécessite une approche réfléchie et équilibrée. Nous devons être conscients des avantages et des inconvénients de ces outils numériques pour tirer le meilleur parti des opportunités qu’ils offrent, tout en préservant l’authenticité et la qualité de nos relations dans le monde réel.
En résumé, la conclusion d’une dissertation joue un rôle essentiel dans la clôture de votre travail de recherche. Elle doit récapituler les principaux points abordés, répondre de manière convaincante à la problématique, et ouvrir la voie vers de nouvelles perspectives. Pour rédiger une conclusion percutante, soyez clair et concis, utilisez des exemples concrets pour appuyer vos arguments, et terminez sur une note mémorable qui laissera une impression durable sur vos lecteurs. En suivant ces conseils, vous pouvez garantir que votre dissertation se termine avec force et conviction.
Qu'est-ce qu'une conclusion de dissertation ?
La conclusion de dissertation est la dernière partie de votre travail de recherche, où vous récapitulez les idées principales, fournissez une réponse à la problématique et ouvrez des perspectives futures. 🎯
Quelles parties doivent être incluses dans une conclusion de dissertation ?
Une conclusion bien structurée devrait comprendre un résumé des principales idées, une réponse claire à la problématique et des perspectives pour des recherches futures. 📝
Comment rendre une conclusion de dissertation percutante ?
Pour rendre votre conclusion convaincante, utilisez un langage clair et des exemples concrets, et terminez sur une note mémorable pour laisser une impression durable sur vos lecteurs. 💡
Peut-on introduire de nouvelles informations dans la conclusion ?
Non, la conclusion ne doit pas introduire de nouvelles informations, mais plutôt résumer et mettre en perspective celles présentées dans le corps de la dissertation. ❌
Combien de temps devrait-on consacrer à la rédaction de la conclusion ?
Accordez à votre conclusion le temps nécessaire pour la rendre cohérente et convaincante. Cela peut varier en fonction de la longueur de votre dissertation, mais ne la bâclez pas. ⏰
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Comment trouver une bonne thématique pour une dissertation ?
Comment faire un plan de dissertation ?
Comment rédiger une dissertation avec notre aide en ligne ?
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Comment faire une conclusion de dissertation
Lorsqu'on doit faire une dissertation, pour un devoir d'école, pour un mémoire ou pour un travail quelconque, il est habituel d'avoir des doutes par rapport au contenu d'une bonne dissertation, de l'introduction au développement en passant par la conclusion.
Rassembler des informations et les inclure dans le développement d'une dissertation est sûrement l'une des parties les plus importantes dans un travail de rédaction. Cependant, vous ne devez pas mettre de côté la conclusion qui marquera en dernier l'esprit de votre lecteur. Si vous avez besoin de savoir comment faire une conclusion d'une dissertation , dans cet article toutCOMMENT, nous vous expliquons tout. Bonne lecture !
Comment faire une conclusion de dissertation ?
Formules de conclusion de dissertation, comment ne pas commencer la conclusion d'une dissertation , comment bien faire une conclusion de dissertation .
Vous chercher à savoir comment faire une conclusion de dissertation ? Premièrement, vous devez savoir ce qui doit figurer à l'intérieur de celle-ci. En fait, la conclusion d'une dissertation, quelle soit littéraire ou scientifique, doit contenir trois parties :
- Un résumé de l'hypothèse : tout au long de votre dissertation vous aurez travaillé autour d'une hypothèse, qui sera confirmée ou non dans votre développement. De cette façon, pour commencer la conclusion d'un essai, il est indispensable de faire un petit récapitulatif du travail ou de l'hypothèse initiale en guise "d'introduction".
- Les arguments pour et contre : une fois que vous avez rappelé au lecteur les objectifs initiaux de la dissertation, vous devez lui démontrer, de façon résumée, les arguments pour et contre que vous avez exprimé dans le corps de votre dissertation.
- Réflexion finale : finalement, vient la partie la plus compliquée : votre propre réflexion. Il est important de rester le plus objectif possible et de prendre en compte tous les arguments pour et contre que vous avez découverts sur votre idée initiale.
Finalement, la conclusion d'une dissertation est très similaire à la structure d'un essai car elle comporte une introduction, un développement et une conclusion.
Le plus grand doute à l'heure de rédiger la conclusion d'une dissertation est de savoir comment la commencer. Si vous ne savez pas comment débuter un paragraphe d'une conclusion, nous vous donnerons quelques idées pour une phrase d'accroche :
- Comme nous l'avons vu...
- Bien que notre hypothèse ne soit pas confirmée ...
- D'après notre analyse, nous pouvons en déduire que...
- Après avoir analysé...
- Afin d'illustrer notre cheminement...
- Grâce à l'analyse que nous avons mené, nous pouvons penser que...
- Dans notre hypothèse initiale, nous avons vu que...
Comment terminer une conclusion
Il y a plusieurs manières de terminer la conclusion d'une dissertation, voici quelques formules qui pourront vous inspirer :
- Pour conclure
- En résumé
- Somme toute
- En définitive
- Après avoir analysé
- Il est important d'éclaircir
- Malgré tout
- Heureusement
- Malheureusement
- Malgré
- En conclusion
Précédemment nous avons vu comment bien commencer la conclusion d'une dissertation, mais il existe quelques conseils pour ne pas mal commencer la rédaction de celle-ci. Lorsqu'il s'agit d'une dissertation plus professionnelle , il faut éviter à tout prix éviter de commencer à rédiger une conclusion avec ce type de phrases :
- En conclusion...
- Pour finir...
- En résumé...
Ces phrases d'accroche ne sont pas recommandées pour des travaux écrits plus formels. Cependant, vous pouvez les utiliser lors d'exposés à l'oral.
D'autre part, dans la conclusion d'un mémoire de master par exemple, vous ne devez pas vous laissez influencer par vos opinions personnelles mais vous baser plutôt sur les informations provenant de sources sûres que vous avez trouvées lors du processus d'investigation et développées lors de la rédaction du développement de votre mémoire. C'est ainsi que vous resterez objectif avec les résultats trouvés .
Continuez votre lecture et découvrez en notre compagnie comment faire une conclusion de dissertation.
Si vous cherchez des conseils pour savoir comment faire une bonne conclusion de dissertation, voici les conseils que nous pouvons vous donner :
- Vérifiez les informations : la première chose que vous devez savoir sur comment faire la conclusion d'une dissertation, est que toutes les informations que vous incluez doivent être vérifiées, c'est-à-dire qu'elles doivent provenir de sources fiables. Cela est très important notamment si vous voulez débattre votre conclusion.
- Ne donnez pas votre point de vue personnel : comme nous l'avons déjà mentionné, il ne faut pasvous laissez porter par l'envie d'exprimer vos opinions personnelles. Si quelque chose n'est pas comme vous le pensiez, vous devez l'accepter. Toutes les hypothèses ne sont pas vraies. En tout cas, pour ce point, il est fondamental de se souvenir qu'il est nécessaire de s'informer au préalable sur certains sujets. Vous devez d'ailleurs être particulièrement prudent lorsque vous parlez d'essais littéraires car votre idée peut déjà avoir été exprimée par certains auteurs. Vous devriez donc vous appuyer sur l'idée de ces auteurs pour fonder et alimenter la vôtre.
- Votre conclusion doit être objective : toute conclusion doit être la plus objective possible, à moins que le travail soit artistique, mais il faudra tout de même vous appuyer sur des bases fondamentales.
- Votre conclusion doit être liée à ce que vous avez analysé précédemment : il est aussi très important que votre conclusion soit liée aux résultats de votre travail. Ainsi, il est recommandé que le travail d'investigation se centre sur un aspect très concret, sinon, le processus d'investigation pourrait devenir trop abondant et votre conclusion trop imprécise. Désormais vous savez comment faire une bonne conclusion de dissertation !
Notre article Comment faire une conclusion de dissertation vous a plu ? N'hésitez pas à consulter Comment écrire un essai critique .
Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Comment faire une conclusion de dissertation , nous vous recommandons de consulter la catégorie Formation .
Questions fréquentes
Comment écrire une bonne conclusion .
Dans une dissertation, un rapport de stage, un mémoire ou une thèse, écrire une bonne conclusion nécessite :
- de mentionner toutes les parties composant la conclusion (par exemple : retour sur la problématique, analyse des résultats énoncés dans le développement et réponse à la problématique en fonction de ceux-ci, proposition d’ouverture sur le sujet) ;
- de respecter les règles d’orthographe et de syntaxe ainsi que le style académique (écrire avec clarté, précision, concision, neutralité et cohérence).
Questions fréquentes: Eléments linguistiques
Pour former le participe passé, on utilise le plus souvent le radical du verbe à l’infinitif et on y ajoute les terminaisons indiquées ci-dessous selon le groupe du verbe. Le 1er groupe a des terminaisons en é, le 2e groupe en i, et le 3e groupe en i, u, s ou t.
Exemples :
1er groupe (verbes terminant par -er) avec le verbe aimer en exemple : aimé, aimée, aimés, aimées.
2e groupe (verbes terminant par -ir et dont le participe présent finit en -issant) avec le verbe aboutir : abouti, aboutie, aboutis, abouties.
3e groupe (verbes terminant par -ir et dont le participe présent ne finit pas par -issant, verbes terminant en -oir et -re) avec :
- le verbe mordre : mordu, mordue, mordus, mordues ;
- le verbe sentir : senti, sentie, sentis, senties ;
- le verbe feindre : feint, feinte, feints, feintes ;
- le verbe prendre : pris, prise, pris, prises.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d’exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d’incertitude.
- J’aimerais que tu viennes (souhait).
- Pour peu qu’il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).
En ce qui concerne l’écrit, il est nécessaire de se questionner préalablement sur le document à rédiger (mémoire, thèse, publication, etc.) et la discipline concernée (sociologie, chimie, linguistique, etc.), afin d’effectuer des recherches sur ce qui est considéré comme étant académique ou non dans ce cadre.
De plus, si vous devez rédiger un écrit académique, vous bénéficiez sûrement d’orientations générales qui vous ont été précisées pour cet écrit.
Enfin, avec Scribbr, nous vous proposons plusieurs articles dans notre partie portant sur le style académique, afin de vous guider pour respecter les exigences de ce style.
Le style académique correspond au style préconisé par les académies. Le style académique peut toucher de nombreux domaines différents, comme les arts et les sciences. Concernant l’écrit, selon le type de document rédigé (essai, publication mémoire, etc.) et les disciplines considérées (sciences, littérature, etc.), les normes exigées pour le style académique ne seront pas constamment identiques.
Nous vous proposons toutefois des conseils globaux dans nos articles pour respecter le style académique relatif aux écrits académiques universitaires.
Le gérondif est employé comme complément circonstanciel pour indiquer un fait intervenant en même temps qu’un autre fait exprimé : en salant mon plat, j’ai regardé Jeanne.
Le gérondif se compose toujours de la préposition “en” suivie du participe présent (en rêvant). En l’absence de la préposition “en” (rêvant), le verbe sous la forme finissant par -ant est un participe présent.
Le gérondif est un mode impersonnel formé par la préposition “en” suivie du participe présent du verbe, par exemple : en dormant.
Les verbes pronominaux peuvent s’accorder selon les cas avec le sujet ou avec le complément d’objet direct s’il est placé avant le verbe. Ils peuvent également ne pas s’accorder, notamment si le complément d’objet avant le verbe est indirect, si le complément d’objet direct se situe après le verbe ou s’ils sont invariables.
Accord avec le sujet : Estelle s’est empar ée de son plan. Accord avec le COD avant le verbe : Ils se sont lav és . COI avant le verbe, pas d’accord : Estelle et Laurent se sont parlé. COD après le verbe, pas d’accord : Estelle s’est cassé la jambe . Verbe invariable : Ils se sont plu à dessiner tout l’après-midi.
Les verbes pronominaux sont les verbes conjugués avec un pronom réfléchi comme le verbe se laver : je me lave, tu te laves, il/elle/on se lave, nous nous lavons, vous vous lavez, ils/elles/eux se lavent.
Un verbe à la forme pronominale est un verbe se conjuguant avec un pronom réfléchi : s’appeler, se démarquer, se moucher, etc.
Le subjonctif se conjugue à quatre temps, deux temps simples (présent et imparfait) et deux temps composés (passé et plus-que-parfait).
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l’indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Par exemple, pour le verbe aimer : que j’aime, que tu aimes, qu’il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu’ils/elles/eux aiment. Les terminaisons de l’imparfait du subjonctif sont celles-ci : -sse, -sses, -^t, -ssions, -ssiez, -ssent. Que j’aimasse, que tu aimasses, qu’il/elle/on aimât, que nous aimassions, que vous aimassiez, qu’ils/elles/eux aimassent.
Enfin, le subjonctif passé se construit avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué au subjonctif présent suivi du participe passé (que j’aie aimé, que tu aies aimé, qu’il/elle/on ait aimé, que nous ayons aimé, que vous ayez aimé, qu’ils/elles/eux aient aimé). Et le subjonctif plus-que-parfait se forme avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué à l’imparfait suivi du participe passé (que j’eusse aimé, que tu eusses aimé, qu’il eût aimé, que nous eussions aimé, que vous eussiez aimé, qu’ils eussent aimé).
Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet lorsqu’il est employé avec l’auxiliaire être : elles sont passées, nous sommes partis, etc.
Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct lorsqu’il est employé avec l’auxiliaire avoir, mais uniquement s’il est placé avant le verbe : nous avons apporté l’argenterie → nous l’avons apportée.
Ces deux règles constituent la grande majorité des cas rencontrés. Toutefois, des particularités interviennent lorsque les participes passés sont employés avant un infinitif ou avec des verbes pronominaux (s’écrier, se rappeler, etc.).
Le participe est un mode qui comporte deux temps : le participe présent et le participe passé. Le participe passé permet la formation de nombreux temps composés (passé composé, plus-que-parfait, passé antérieur, futur antérieur, etc.) en s’ajoutant aux auxiliaires être ou avoir. Il suit des règles d’accord particulières selon qu’il soit utilisé avec l’un ou l’autre.
En cas de doute sur la forme correcte d’un verbe à l’infinitif, vous pouvez imaginer une phrase commençant par “il faut” et la compléter avec le verbe que vous recherchez : il faut couper , il faut manger , etc.
Selon qu’ils soient du premier, deuxième ou troisième groupe, les verbes à l’infinitif décrivent une action ou un état et se terminent par :
- “er” s’ils sont du premier groupe (sauf le verbe aller qui est une exception et qui relève du troisième groupe ;
- “ir” avec un participe présent terminant par “issant” s’ils sont du deuxième groupe ;
- “ir” (et dont le participe présent ne se termine pas par -issant), “oir” et “re” s’ils sont du troisième groupe.
L’infinitif doit être utilisé :
- après un verbe conjugué : Margot aime penser à ses étudiants ;
- après les prépositions à, de, sans, pour : Jérémy triche pour compenser ses lacunes.
Il peut être utilisé en début de phrase : Lire est mon passe-temps préféré.
Un verbe à l’infinitif est un verbe qui se présente sous sa forme non conjuguée : parler, construire, rêver, répondre, etc. C’est sous cette forme que les verbes sont compilés dans les dictionnaires. L’infinitif est considéré comme un mode comprenant deux temps : l’infinitif présent (aimer) et l’infinitif passé (avoir aimé).
L’impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
L’impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu’ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
Hormis pour certains verbes du 3e groupe, l’impératif se forme généralement à partir du même radical que le présent de l’indicatif. Les terminaisons sont les suivantes, sachant que pour le 3e groupe des exceptions existent.
- Verbes du 1er groupe (aimer) : aime, aimons, aimez.
- Verbes du 2e groupe (aboutir) : aboutis, aboutissons, aboutissez.
- Verbes du 3e groupe (mordre) : mords, mordons, mordez.
L’impératif est le mode utilisé pour exprimer l’injonction, par exemple :
- Mange tes légumes !
- Sors d’ici !
- Prenez ce document.
Cette question fait débat auprès des spécialistes. Comme le conditionnel possède beaucoup d’usages, et pas uniquement celui de la condition, et qu’il peut servir à exprimer un futur dans le passé, beaucoup le considèrent comme un temps. Il est toutefois traditionnellement présenté comme un mode dans les manuels scolaires et les tableaux de conjugaison.
Un résumé est une présentation courte d’une situation ou d’un ouvrage qui en restitue les points principaux.
Pour une paraphrase efficace, ne vous contentez pas de modifier la phrase d’origine en remplaçant certains mots par des synonymes. Essayez plutôt de :
- Reformuler la phrase (par exemple, passez de la voix active à la voix passive, ou adoptez un angle de vue différent)
- Combiner les informations de plusieurs phrases en une seule
- Supprimer les informations de la phrase d’origine qui ne sont pas pertinentes pour votre propos
- Utiliser des synonymes en prenant soin de ne pas dénaturer le sens
L’essentiel est de vous assurer que vous ne copiez pas la structure du texte original : reformulez l’idée avec vos propres mots.
Un correcteur d’orthographe est un outil qui vérifie automatiquement votre texte et corrige les fautes d’orthographe , la grammaire, les erreurs de ponctuation et les problèmes de syntaxe. Vous pouvez consulter notre comparaison des meilleurs outils gratuits de correction d’orthographe pour en apprendre davantage.
Un outil de paraphrase modifie davantage votre texte et propose des reformulations, que le texte contienne des fautes de grammaire ou non. Il peut paraphraser votre texte pour des phrases plus concises et lisibles ou pour d’autres raisons. Vous pouvez consulter notre analyse des meilleurs outils de paraphrase pour en apprendre davantage.
Certains outils disponibles en ligne combinent les deux fonctions. D’autres, comme Quillbot , proposent séparément des outils de correction d’orthographe et de paraphrase. Veillez à bien choisir l’outil que vous utilisez afin d’éviter des changements non désirés.
Une conclusion comprend généralement :
- un retour sur la problématique énoncée en introduction ;
- une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ;
- une perspective d’ouverture sur le sujet.
Néanmoins, selon le type de document à rendre (dissertation, mémoire, etc.), ces parties peuvent varier quelque peu. Nous vous recommandons la lecture de notre article sur le sujet si vous souhaitez en savoir plus.
Pour écrire une bonne introduction, il convient de respecter deux aspects :
- dérouler les parties attendues (par exemple l’accroche, la présentation du stage et de l’entreprise, l’annonce du plan, etc.) ;
- rédiger en usant d’un style académique exigeant la clarté, la précision, la concision, la neutralité et la cohérence.
Une introduction est généralement un texte court figurant en préambule d’un ouvrage. Dans un écrit académique (rapport de stage, mémoire, thèse), l’introduction suit des usages particuliers et sert principalement à présenter le sujet du document et à annoncer son plan.
Les remerciements se positionnent en début de document :
- après la page de garde et avant le sommaire pour les rapports de stage ;
- après l’avant-propos ou la préface et avant le résumé pour le mémoire ;
- après la page de garde et avant les résumés en français et en anglais pour la thèse de doctorat.
Selon le type de document (rapport de stage, mémoire et thèse), les remerciements différeront très légèrement sur le ton, la position ou les destinataires. Il est toutefois possible de retenir que les remerciements occupent généralement une page tout au plus, qu’il est souhaitable d’indiquer le prénom, le nom et la fonction ou la qualité des personnes remerciées, d’écrire sans fautes et en expliquant pour quelle raison on souhaite remercier les personnes.
Le résumé doit être placé en début de document, après les remerciements et avant le sommaire.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l’imparfait : j’aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
Concernant les écrits académiques, il est fortement conseillé de rédiger un avant-propos pour les mémoires. Cette démarche reste facultative pour les rapports de stage et peu courante pour les thèses.
Dans un écrit académique, un avant-propos doit comprendre :
- la présentation du sujet et du type de document ;
- l’explication des motivations et des raisons ayant poussé à étudier le sujet ;
- la précision de l’objectif poursuivi ;
- la mention des difficultés rencontrées.
L’avant-propos est un texte court positionné au début d’un ouvrage. Il précise le sujet exploré, le type de document produit, les raisons qui ont poussé à étudier ledit sujet, les objectifs du travail et les difficultés rencontrées.
Il est au préalable nécessaire de sélectionner les titres et les sous-titres dans votre document, puis de leur appliquer le titre qui vous convient (titre 1, titre 2, etc.). Une fois cette étape effectuée, il faut se rendre sur “références”, cliquer sur “table des matières”, puis sélectionner le modèle de table des matières qui vous convient ou “insérer une table des matières”, option vous permettant de paramétrer comme vous le souhaitez votre table des matières.
Une table des matières est une liste présentant la majeure partie ou l’ensemble des titres et sous-titres composant un document.
Traditionnellement, en France, le sommaire figure au début d’un document et la table des matières à la fin. L’influence anglo-saxonne fait qu’en l’absence de sommaire les tables de matières se présentent souvent en début de document.
De plus en plus souvent, la table des matières et le sommaire se confondent. La table des matières correspond à une liste complète des parties et des sous-parties d’un document.
Le sommaire est généralement plus succinct et ne reprend pas forcément toutes les sous-parties. Le sommaire propose un résumé des parties à venir dans le document et se situe ainsi au début de celui-ci.
Le sommaire est un terme assez large qui regroupe des aspects issus de la littérature, du journalisme ou des écrits académiques (mémoires, thèses, etc.). Il peut correspondre au résumé présentant les principales parties d’un document, à la présentation des chapitres d’un livre ou des titres et d’auteurs d’articles de revues.
Le groupe nominal est un mot ou un groupe de mots dont le mot chef de groupe est le nom, dit dans ce cadre “nom noyau” : le chien de Charly fait le beau.
L’indicatif est un mode personnel exprimant une action réelle ou présentée comme telle : Julien sort de la maison, Rémy achète des légumes, etc.
Le vocabulaire est un ensemble de mots constituant au choix : une langue, un domaine précis (arts, sciences, etc.) ou étant répertoriés dans un dictionnaire ou un recueil plus spécifique.
Le complément circonstanciel correspond à un mot ou à un groupe de mots indiquant une circonstance par rapport à ce qui est évoqué dans la phrase : Thierry est parti à 8 heures .
Le complément circonstanciel précise la circonstance dans laquelle l’action a lieu (lieu, temps, moyen, manière, but…). Il est souvent possible de le supprimer ou de le déplacer : avant-hier , il lui a demandé son chemin.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d’accompagnement, de comparaison, d’opposition, de concession et de condition.
Vous pouvez vous aider des mots “ c’est/ce sont ” (introduisant le sujet) et “qui” (introduisant le groupe verbal) : le boulanger prépare le pain/ c’est le boulanger (sujet) qui prépare le pain (groupe verbal).
Le groupe verbal est le groupe de la phrase qui se compose du verbe et, éventuellement, des mots qui viennent apporter des précisions sur l’action ou l’état qu’il décrit. Le groupe verbal peut être constitué d’un mot (le verbe) ou de plusieurs mots (dont le verbe).
Le groupe nominal peut avoir la fonction de sujet, COD, COI, complément circonstanciel, apposition, attribut du sujet…
Le groupe nominal peut se composer d’un seul mot (un nom), dans ce cas on le nomme groupe nominal minimal, ou de deux (un déterminant et un nom), voire de plusieurs mots qui constituent des expansions du nom (adjectif, complément du nom…).
L’indicatif exprime une réalité ou une action qui est présentée comme réelle, que ce soit au passé, au présent ou au futur.
- Indicatif présent : je fais, tu fais, il/elle/on fait, nous faisons, vous faites, ils font.
- Indicatif passé composé : j’ai fait, tu as fait, il/elle/on a fait, nous avons fait, vous avez fait, ils/elles/eux ont fait.
- Indicatif imparfait : je faisais, tu faisais, il/elle/on faisait, nous faisions, vous faisiez, ils/elles/eux faisaient.
- Indicatif passé simple : je fis, tu fis, il/elle/on fit, nous fîmes, vous fîtes, ils/elles/eux firent…
- Indicatif présent : je peux, tu peux, il/elle/on peut, nous pouvons, vous pouvez, ils/elles/eux peuvent.
- Indicatif passé composé : j’ai pu, tu as pu, il/elle/on a pu, nous avons pu, vous avez pu, ils/elles/eux ont pu.
- Indicatif imparfait : je pouvais, tu pouvais, il/elle/on pouvait, nous pouvions, vous pouviez, ils/elles/eux pouvaient.
- Indicatif passé simple : je pus, tu pus, il/elle/on put, nous pûmes, vous pûtes, ils purent…
- Indicatif présent : j’ai, tu as, il/elle/on a, nous avons, vous avez, ils/elles/eux ont.
- Indicatif passé composé : j’ai eu, tu as eu, il/elle/on a eu, nous avons eu, vous avez eu, ils/elles/eux ont eu.
- Indicatif imparfait : j’avais, tu avais, il/elle/on avait, nous avions, vous aviez, ils/elles/eux avaient.
- Indicatif passé simple : j’eus, tu eus, il/elle/on eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent…
La conjugaison est l’ensemble des formes qu’un verbe peut prendre et donnant ainsi des informations sur son temps (présent, passé…), son mode (indicatif, conditionnel…), sa personne (je, tu…) et la voix (active, passive…) à laquelle il est employé.
Un déterminant précède (directement ou non) un nom et forme avec celui-ci le groupe nominal.
Lorsque “la plupart” est employé seul, le verbe qui le suit s’accorde au pluriel : la plupart ont aimé le film. S’il est employé avec un complément, le verbe s’accorde en fonction de celui-ci : la plupart de mon temps est consacré à la lecture/la plupart de ses albums sont en anglais.
“Ensemble” ne s’accorde pas lorsqu’il est un adverbe, les adverbes étant invariables. Si “ensemble” a valeur de nom individuel (un ensemble), il est nécessaire de l’accorder avec le nom qui le précède. Enfin, si “ensemble” a valeur de nom collectif (un ensemble de lycéens), il est nécessaire d’observer le sens de la phrase pour définir la manière d’accorder son groupe verbal.
L’accord à mettre en place avec le nom collectif suit plusieurs généralités, parfois assez contradictoires. Il est ainsi primordial d’observer le sens voulu dans la phrase pour déterminer comment l’accorder : un troupeau de moutons monte en direction du chemin (le verbe monter est au singulier, car il est considéré ici que le troupeau monte globalement en direction du chemin).
Pour former le passé simple, on prend le radical du verbe à l’infinitif (aimer, finir) et on ajoute les terminaisons suivantes pour le 1er et 2e groupe :
- 1er groupe : j’aimai, tu aimas, il aima, nous aimâmes, vous aimâtes, ils aimèrent.
2e groupe : je finis, tu finis, il finit, nous finîmes, vous finîtes, ils finirent. Plusieurs terminaisons sont possibles pour les verbes du 3e groupe et le radical de ceux-ci peut évoluer. Ces verbes du 3e groupe peuvent par exemple prendre les terminaisons suivantes :
- Prendre : je pris, tu pris, il prit, nous prîmes, vous prîtes, ils prirent.
- Pouvoir : je pus, tu pus, il put, nous pûmes, vous pûtes, ils purent.
- Venir : je vins, tu vins, il vint, nous vînmes, vous vîntes, ils vinrent.
- Aller : j’allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent.
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait.
Condition : Si j’avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s’élèveraient à des milliards d’euros. Formule de politesse : Pourrais -tu fermer la fenêtre s’il te plaît ? Souhait : J’ aimerais tellement que tu viennes pour mon oral.
Le verbe être se conjugue de la façon suivante : je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont.
Le verbe avoir se conjugue de la sorte : j’ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont.
Les terminaisons sont les suivantes pour les verbes des 1er et 2e groupes.
- 1er groupe : verbe chanter – je chante, tu chantes, il chante, nous chantons, vous chantez, ils chantent.
- 2e groupe : verbe avertir – j’avertis, tu avertis, il avertit, nous avertissons, vous avertissez, ils avertissent.
- Verbes du 3e groupe, verbes en -ir : verbe partir – je pars, tu pars, il part, nous partons, vous partez, ils partent.
- Verbes du 3e groupe, verbes en -dre : verbe rendre – je rends, tu rends, il rend, nous rendons, vous rendez, ils rendent.
Le présent de l’indicatif se conjugue avec les terminaisons suivantes pour les verbes des 1er et 2e groupes.
Le plus-que-parfait doit être utilisé quand on veut exprimer une action antérieure à une autre déjà située dans le passé : Sarah est arrivée, mais Mathieu était parti .
Le plus-que-parfait se forme avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué à l’imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j’étais parti, j’avais gagné, etc.
Le plus-que-parfait est un temps conjugué à l’indicatif et au subjonctif. Il sert à indiquer une action ayant eu lieu avant une autre déjà située dans le passé.
Le passé simple est utilisé dans le cadre d’un langage soutenu, le plus souvent à l’écrit, pour une action brève, terminée et située dans le passé.
Le passé simple exprime une action terminée dans le passé, le plus souvent brève. Il est le plus souvent utilisé à l’écrit. Ses terminaisons sont les suivantes pour les 1er et 2e groupes :
- 2e groupe : je finis, tu finis, il finit, nous finîmes, vous finîtes, ils finirent.
Les verbes du 3e groupe peuvent avoir différentes terminaisons :
Un nom collectif est un nom commun désignant un ensemble pouvant être composé d’êtres, d’animaux, d’objets et de choses diverses : une horde de loups, une foule de personnes…
Le passé composé doit être utilisé pour indiquer une action terminée, le plus généralement brève. Il peut toutefois être employé de façon rare pour indiquer un futur ou une action répétée (je vais bientôt finir/il a appris le piano tous les jeudis).
Il faut utiliser l’auxiliaire être ou avoir conjugué au présent et le faire suivre du participe passé du verbe conjugué. Par exemple, pour le verbe répéter : j’ai répété.
Le passé composé est un temps de l’indicatif exprimant le plus souvent une action brève et terminée.
L’imparfait est principalement le temps de l’inachevé, de l’action qui dure dans le passé. Ses terminaisons sont les suivantes : ais, ais, ait, ions, iez, aient.
Les terminaisons de l’imparfait sont : ais, ais, ait, ions, iez, aient. Elles s’ajoutent au radical du verbe formé à la première personne du pluriel au présent de l’indicatif (nous aim ons : j’aimais, tu aimais, etc.).
L’imparfait de l’indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé. Il peut également exprimer le déroulement d’une action, une habitude, une répétition ou présenter une description.
Le futur de l’indicatif est utilisé pour indiquer une action réelle se déroulant dans l’avenir. Le futur peut se décliner en trois temps : le futur simple, le futur antérieur et le futur proche.
Les terminaisons du futur simple sont les suivantes : -rai, -ras, -ra, -rons, -rez, -ront.
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Comment rédiger la conclusion d'une dissertation ? Méthode et exemple
La dissertation est un exercice que l'on retrouve très fréquemment à tous les niveaux d'études, que ce soit au lycée ou durant les études supérieures. Elle montre entre autres choses la capacité des élèves dans l'organisation de leurs idées, leur manière de les illustrer et surtout de les rédiger.
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La dissertation est une série d’arguments développés sur un sujet donné ; sujet qui peut être formulé sous diverses formes, une citation, ou encore un extrait suivi d’une question qui amène à une réflexion sur tel ou tel problème de société.
Tout comme l’introduction, la conclusion est une des étapes les plus importantes dans l’élaboration du devoir.
La conclusion de la dissertation
La conclusion intervient après la dernière partie de la rédaction, elle clôture le travail réalisé, et c’est aussi ce que le correcteur lira en dernier, et il est généralement admis que la dernière impression laissée par un devoir est aussi importante que la première. Il est par conséquent nécessaire de soigner la conclusion autant que l’introduction. Elle est obligatoire dans un grand nombre de domaines, comme la philosophie, la littérature ou encore l’histoire et la géographie.
Elle sert à clôturer le débat initial, et surtout, elle doit répondre à la problématique qui a été mise en avant dans l’introduction.
La conclusion fait une dizaine de lignes, elle est isolée par deux sauts de ligne par rapport au reste du devoir.
La méthodologie de la conclusion
La conclusion se découpe en plusieurs parties, la première est le rappel de la problématique initialement posée sous forme de question dans l’introduction, le débriefing des arguments qui ont été exposés durant toute la dissertation, la réponse à la problématique et enfin, une ouverture du sujet sur une autre réflexion possible.
Rappel de la problématique : une fois que le correcteur a lu l’intégralité du devoir, il est important, au début de la conclusion d’établir un rappel de la problématique de départ. En effet, cela permet de recentrer l’attention du lecteur sur le problème initialement posé et montre ainsi la capacité d’organisation de l’élève ainsi que celle qu’il a de revenir à son questionnement. Il est donc question de logique narrative.
Le bilan des arguments : il s’agit ici d’établir une synthèse de toutes les étapes du développement. Lors d’une dissertation, le candidat peut utiliser plusieurs types de plans, il faut le reprendre dans cette partie de la conclusion pour donner une cohérence à l’ensemble. Par exemple, si c’est un plan de type dialectique qui a été établi au départ, alors il faudra rappeler les éléments principaux de la thèse, de l’antithèse et de la synthèse. Bien entendu, toujours dans un souci de cohérence et aussi pour ne pas lasser le correcteur, il faut reformuler les éléments le plus possible, d’une façon plus originale. La capacité à reformuler est également évaluée à ce moment-là et peut donner des points en plus si elle est bien réalisée. La note de la dissertation est en effet donnée selon un ensemble de critères.
La réponse à la problématique : c’est sans aucun doute la partie la plus importante de la conclusion, même s’il s’agit d’un ensemble. Si le plan a été bien suivi, la troisième partie de la dissertation contient déjà des éléments de réponses, il suffit donc de les reprendre pour les expliquer dans cette partie de la conclusion. Encore une fois, la reformulation s’impose et surtout, la réponse doit être suffisamment courte et claire. Attention à ne pas donner un avis personnel à la première personne, car ce n’est pas ce qui est attendu. Ce sont des pronoms impersonnels qui doivent être utilisés, car c’est l’aboutissement d’une réflexion.
L’ouverture du sujet : une fois tout cela réalisé, il faut ouvrir sur une perspective plus globale du sujet. Cela montre la capacité à réfléchir sur d’autres sujets en lien avec celui initialement donné. Attention toutefois à ne pas trop s’éloigner du sujet, cela pourrait manquer de crédibilité. L’ouverture doit ainsi se rapprocher le plus possible du sujet, mais il s’agit d’une étape qui peut être supprimée si l’élève ne parvient pas à trouver d’approches cohérentes. Elle est cependant très appréciée des lecteurs.
Exemple de conclusion
Sujet : les fictions (romans, fables) permettent-elles de dénoncer les défauts des hommes ?
Nous partirons du principe que le plan utilisé est dialectique (thèse, antithèse, synthèse).
Le recours à tous types de fictions peut permettre de mettre en avant les défauts les plus caractéristiques des hommes. Néanmoins, ce raisonnement doit être nuancé, car il présente certaines faiblesses. L’argumentation présente dans certains récits permet de dénoncer et d’établir ainsi une sorte de morale, que tout un chacun est libre de suivre ou non. Toutes les fictions n’ont ainsi pas le même sens de la morale, ainsi, les argumentations se complètent pour faire avancer les critiques et surtout, pour faire progresser l’humain dans sa quête personnelle.
L’exercice de dissertation est par conséquent un exercice complet, qui doit être soigné et organisé de l’introduction jusqu’à la dernière phrase de la conclusion. Le lecteur doit, grâce à la conclusion, comprendre le cheminement de la pensée de l’étudiant et établir une cohérence de l’ensemble du devoir.
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La conclusion d’une dissertation : à quoi sert-elle ? Le rôle de la conclusion d’une dissertation est de clore le débat en répondant aux problèmes posés en introduction et de proposer un élargissement du sujet. Elle doit être structurée et claire.
Pour cela, ta conclusion doit suivre 3 étapes, qui permettent d’aller du particulier au général : 1 – Rappelle les étapes de ton développement. 2 – Propose une réponse ferme et définitive à la question. 3 – Fais une ouverture.
Exemple de conclusion dissertation français. Selon le sujet, la dissertation de français peut suivre plusieurs types de plans : Un plan dialectique (à éviter généralement) : thèse / antithèse / synthèse. Un plan analytique : description et explication d’une situation, analyse des causes et des conséquences.
La conclusion d’une dissertation est la dernière partie de votre travail de recherche. Elle sert à résumer vos idées principales, à apporter une réponse à la problématique posée et à ouvrir des perspectives futures.
Vous chercher à savoir comment faire une conclusion de dissertation ? Premièrement, vous devez savoir ce qui doit figurer à l'intérieur de celle-ci. En fait, la conclusion d'une dissertation, quelle soit littéraire ou scientifique, doit contenir trois parties :
La conclusion dans les dissertations. La conclusion dans les rapports de stage, mémoires et thèses. Réussir sa conclusion. Au même titre que l’introduction, la conclusion représente une partie essentielle d’un document. Pour qu’un document donne l’impression d’être réussi, sa fin doit impérativement l’être.
La conclusion fait partie des éléments-clés lors de la rédaction d’un essai, d’une rédaction, d’une dissertation ou de tout autre écrit académique. Voici nos cinq conseils pour bien la réussir.
Description. Document fournissant un exemple annoté d’une bonne conclusion d’une dissertation critique. Il comporte également des commentaires généraux sur la présence, la clarté, la pertinence et la cohésion des parties de la conclusion. Cette ressource fait partie de la collection Épreuve uniforme de français (EUF). Mots-clés.
Dans une dissertation, un rapport de stage, un mémoire ou une thèse, écrire une bonne conclusion nécessite : de respecter les règles d’orthographe et de syntaxe ainsi que le style académique (écrire avec clarté, précision, concision, neutralité et cohérence).
Méthodologie de la conclusion de dissertation, celle-ci clôture l'écrit et répond à la problématique posée dans l'introduction. Exemple concret à l'appui.