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Exemples de sujets de dissertation en Philosophie sur la conscience
Liste de 10 exemples de sujets de dissertation sur la conscience : est-ce que la conscience est la condition pour séparer l'Homme de l'animal ? La conscience est-elle la condition du sentiment de soi ? Etc.
Credit Photo : Unsplash Morgan Housel
Documents et références sur la conscience sur Pimido
- La conscience
- L'inconscient statique, dynamique et la conscience
1) Est-ce que la conscience est la condition pour séparer l'Homme de l'animal ?
I- L'Homme est un animal (rappeler la nature biologique de l'Homme et sa ressemblance étroite avec les grands singes notamment) II- Parler de la conscience réflexive (humain) et de la conscience préréflexive (animaux) III- mais peut-il vraiment transcender sa part d'animalité ?
- Dissertation philosophique - La conscience nous exclut-elle de l'animalité ?
2) La conscience est-elle la condition du sentiment de soi ?
I- Cogito ergo sum : Je pense donc je suis . II- Mais est-ce que penser suffit à être sûrs que nous sommes nous-mêmes ? Parler du Malin Génie de Descartes III- Conclusion : l'on ne peut vraiment être sûrs que nous existons, la conscience n'étant pas suffisante à cela. Alors qu'est-ce qui existe ?
3) L'inconscient est-il ce qui nous sépare de nous-mêmes ?
I- L' inconscient est une part entière, constitutive et non négligeable de notre psyché ( Jung, Freud ). II- Mais nous ne sommes pas qu'action, nous sommes réflexion, et lors de nos observations nous ne sommes plus vraiment nous-mêmes, nous sommes hors de nous-mêmes ( ek-sistere , Sartre) III- L'inconscient reste une part obscure et étrange de nous-mêmes, et semble être moins nous que notre conscience ; mais s'il fallait considérer l'inconscient comme étant nous, pourrions-nous nous considérer comme multiples ?
- L'inconscient permet-il de nous définir autant que la conscience ?
4) La conscience nous permet-elle de la transcender ?
I- La conscience, c'est ce qui nous constitue (Freud), en tant qu'objet étant, qu'elle puisse se transcender et donc ne plus être elle-même est absurde. II- Cependant, Nietzsche parle aisément du surhomme et de la capacité à nous transcender, de dépasser l' ek-sistere (l'observation passive et extérieure à soi) pour faire corps avec la volonté III- La conscience nous permet de la transcender, mais jusqu'à quel point, et à quel prix ? Est-ce moral de le faire ?
5) La conscience est-elle une connaissance ?
I- Cogito Ergo Sum : Je pense donc je suis. Cette affirmation est, d'après Descartes, la seule connaissance que nous puissions avoir. II- Cependant, que pouvons-nous savoir ? Sommes-nous en mesure de savoir ? ( Caverne de Platon ) III- La conscience n'est peut-être pas une connaissance, mais la sagesse est sûrement le moyen d'acquérir le savoir.
6) La conscience est-elle un frein à notre liberté ?
I- La conscience semble être, au contraire, ce qui nous permet la liberté : nous ne sommes pas soumis à nos instincts comme les animaux (conscience réflexive, conscience préréflexive) II- Cela dit, la conscience fait aussi que nous sommes conscients de nos actes, et par conséquent, que nous en sommes responsables. (Kant, le libre arbitre) III- Puisque nous sommes privés de liberté à cause de notre conscience, alors les animaux sont-ils plus libres que nous-mêmes si moins capables ?
- Essai sur les données immédiates de la conscience, Extrait - Henri Bergson (1889) - Le rapport de la liberté à la conscience humaine
- Critique de la raison pratique - Kant (1788) - Dans quelle mesure la liberté humaine peut-elle nous accuser ?
7) La vie est-elle une illusion perceptive ?
I- La vie est la conséquence d'énormément de facteurs évolutionnistes (voir Darwin) et ne saurait être une illusion, elle est trop sophistiquée, et on peine à la comprendre. Ce que l'on perçoit est réel. II- Caverne de Platon : et si ce qu'on voyait n'était qu'une illusion, et que seuls les plus sages pouvaient entrevoir le monde des idées. III- Même si certains d'entre nous pouvaient voir la réalité, est-ce qu'avec notre matériel perceptif nous serions en mesure de dire que ce que nous voyons est la réalité, de manière exhaustive, et pas une interprétation de notre cerveau ?
8) Le soi est-il une idée ou une réalité ?
I- Le soi est un ensemble de perceptions qui font que nous avons le sentiment de nous. (Feuerbach, le sentiment de soi). Nous avons aussi une réalité biologique. II- Mais le soi pourrait aussi être une idée : par nos normes sociales, nous approfondissant la croyance par laquelle nous sommes uniques (prénom, nom, documents permettant l'identification). Et qu'est-ce qui différencie deux jumeaux, qui ont la même empreinte digitale par exemple ? III- Le soi est un mélange entre l'idée et la réalité ; jusqu'où peut s'étendre le sentiment de soi, puisque la limite est si floue ?
9) Le soi est-il pluriel ?
I- Le soi est censé être unique, perceptible (la substance, par Aristote) II- Cependant, d'après Sartre et Feuerbach , nous pouvons nous appeler tout à tour par « je » ( subsistere ) et « tu » ( eksistere ) III- Même si nous pouvons nous appeler par « tu » , ce sentiment de pluralité est-il une illusion, une métaphore ?
10) La conscience est-elle la condition de la vie ?
I- Les animaux vivent, pourtant ils n'ont accès qu'à la conscience préréflexive II- Mais comprenons mieux la question : les animaux ne font que survivre, c'est-à-dire suivre leurs instincts primaires. Les Hommes survivent et vivent, c'est-à-dire qu'ils font des choses non-nécessaires à la survie. III- L' art , étant non-nécessaire à la survie et faisant donc partie de la vie, est-il finalement nécessaire ?
- La Conscience et la vie, p.19-20 - Henri Bergson (1933)
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Aperçu du texte, le sujet- la conscience.
Intro à la notion de conscience
Def : - Conscience:signifie étymologiquement « accompagné de savoir ». On distingue conscience psychologique et conscience morale. - Conscience psychologique/ de soi : faculté de l'homme à être conscient de lui-même (de ses pensées, de ses actes), mais aussi du monde qui l'entoure. - Conscience morale : connaissance du bien et du mal.
→ Conscience = terme très utilisé ds langage courant → De nbreuses expressions utilisent cette notion ds le domaine de l'action (conscience morale) aussi bien que dans celui de la connaissance (conscience de soi). Ex : Lorsque l'on est conscient de qlq chose : on connaît les risques ou les conséquences de ce que l'on fait. => allusion à connaissance + responsabilité => être conscient a donc un sens très large → Conscience peut s'opposer à : - L'inconscience : état ds lequel est une personne qui dort par ex, ms aussi un individu imprudent, qui néglige les conséquences de ses actes - La non-conscience : caractérise n'importe quel objet inanimé - L'inconscient : terme psychanalytique.
→ L'Homme = en constant changement : évolution du corps, de l'opinion, du caractère... => Mais n'y a-t-il pas qlq chose en moi qui résiste à tous ces changements? => S'il y a bien une question à laquelle il est difficile de répondre = « Qui suis-je? ». → Evocat° conscience ms au sens psychologique :
- Conscience : capacité de représentation de nous-même et du monde extérieur. C'est à la fois ce qui ns met en contact avec le monde et avec nous-même. Mais =mt ce qui ns permet de prendre du recul par rapport au monde, et par rapport à nous-même.
→ Autre notion importante = inconscient :
- Inconscient : Hypothèse formulée par Freud désignant une instance du psychisme extérieur et indépendant de la conscience qui nous détermine à notre insu.
=> Cette hypothèse permet d'expliquer ce dont la conscience ne peut rendre compte. → Ex : les lapsus, les rêves,... => Pbm : Qui suis-je?
I- Je suis une conscience
A- Un identité sociale
→ Fait de vivre en société donne à chaque individu une identité déterminée Ex : nom, prénom, date de naissance, nationalité,... = > = Identité sociale et semble pvoir répondre à notre Q : Qui suis-je? → Cette identité sociale, c'est la première qu'on donne de nous lors d'une rencontre. → Cette identité ns permet de vivre en société : On se situe facilement grâce à elle les uns par rapport aux autres => Mais n'est pas suffisant pr se définir: n'est pas suffisant pr bien connaître qlq : on se pose =mt la Q de identité profonde.
B- Une identité intérieure → Très dur de faire coïncider identité sociale et identité intérieure ou profonde. → Car oui, on peut essayer de trouver une réponse à notre Q : « Qui suis-je? » en se détachant des apparences extérieures, pr trouver une vérité intérieure. → René Descartes : « Je pense, donc je suis » => Même si je ne sais pas exactement qui je suis, je sais au moins que je suis une pensée. La seule certitude que je peux avoir sur moi-même, c'est que je peux douter de tout mais pas du fais que je doute, je pense et j'existe. → René Descartes : « Je connus de là que j'étais une substance dont l'essence ou la nature n'est que penser » => Pr Descartes, la pensée est ce que nous appelons conscience. Pour lui, l'homme se connaît comme conscience càd que la seule chose dont il est vraiment certain, c'est d'être une conscience. => Descartes pose dc une équivalence : Pensée = Conscience = Psychisme. → En acceptant cette idée, nous avons une première réponse à notre question « Qui suis-je? ». => Je suis une conscience. → Dire que je suis une conscience est-il suffisant comme réponse? → Car la conscience définit l'être humain mais ne m'aide pas à me définir comme être unique. → Mon intériorité se réduit-elle à la conscience? → Revenons à la notion de lapsus : - Lapsus révélateur : mot qu'on ne voulait pas prononcer à la base et que l'on dit à la place d'un autre. Il est appelé révélateur car il dévoile 1 pensée inconsciente, cachée, que la conscience ne voit pas. → Quel est le statut de cet inconscient par rapport à notre identité?
II- Je suis déterminé par mon inconscient
A- Critique de l'équivalent conscience/psychisme → Est-ce que comme l'a dit Descartes, conscience = psychisme? → On a un rapport imaginaire à ns-même par ex qd on dit « je » ou « moi », on pense être transparents à ns-même. → Freud = d'accord avec cette théorie : Le moi « n'est pas maître dans sa propre maison. » - Introduction à la psychanalyse => Avoir conscience de soi ne suffit pas à réponde à la Q « Qui suis-je? » car la conscience n'est qu'un effet de surface de l'inconscient, la partie émergée de l'Iceberg. Il cohabite avec un autre, dans nous. → Rimbaud : « Je est un autre ». => Inconscient = 1 zone de notre intérieur, inconnue de la conscience.
B- Les 3 instances de mon psychisme ; le ça, le surmoi et le moi → Ms Freud montre que c'est notre inconscient qui détermine notre pensée consciente. → Pr y parvenir, il va distinguer 3 instances du psychisme : le ça, le surmoi et le moi . - Le ça : cherche constamment à satisfaire les pulsions sexuelles, la libido, et les pulsions mortelles. = inconscientes et obéissent à ce que Freud appelle « le principe de plaisir » : c'est là que vont naître les pensées les + inavouables. - Le surmoi : prolonge en nous l'influence de nos parents et de la société. C'est l'intériorisat° inconsciente des interdits sociaux et parentaux. Son rôle est d'empêcher les pulsions du « ça » de se réaliser. = censure . - Le moi : fait la part des choses entre les exigences du « ça » et les interdits du « surmoi ». Il faut bien adapter les pulsions du « ça » aux règles de la société : = sublimation.
- Sublimer : transformer une pulsion du « ça » en un désir moralement et socialement acceptée. Ex : Pr Freux, l'amour de Dieu = sublimation de la libido. L'ambition politique ou les sports de compétition = sublimations de l'agressivité.
- Choix multiple
- Fiches de révision
Matière : Philosophie
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Dissertations : La Conscience
Sujets de philosophie sur la notion : la conscience.
Voici une liste des principales dissertations de philosophie sur la conscience :
– Je est-il un autre ?
– Peut-on se connaître soi-même ?
– Penser fait-il de moi un sujet ?
– La conscience peut-elle exister hors du temps ?
– La conscience existe-t-elle ?
– Une conscience irresponsable est-elle possible ?
– Suis-je responsable de tout ce que je suis et de tout ce que je fais ?
– Suis-je ce que j’ai conscience d’être ?
– L’homme est-il un roseau pensant ?
– Est-ce dans la solitude qu’on prend conscience de soi?
– Puis-je être coupable sans être responsable ?
– Toute conscience est-elle conscience de quelque chose ?
– Le monde extérieur peut-il être une preuve de mon existence ?
– La conscience d’autrui m’est-elle étrangère ?
– Autrui est-il en ma conscience ?
– Ai-je besoin d’autrui pour croire en l’existence du monde ?
– La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
– La conscience de la mort est-elle le propre de l’homme ?
– La conscience doit-elle primer sur l’inconscient ?
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- Ping : exemple de dissertation philo terminale s
Assurément c’est bon. souvent vous octroyez la pensée d’un philosophe à une autre.ce serait bon si vous pouvez corriger cette anomalie.Merci
En quoi la conscience responsabilise t elle l’homme
N’y a t’il que de conscience de soi ?
Sommes nous à l’image de notre conscience?
La conscience responsabilise l’homme dans la mesure où l’homme faire des choses consciemment ou inconsciemment au sein de la société.A titre illustratif je gifle un petit et la trace de mes mains se trouve sur ces joues.
La conscience fonde-t-elle la dignité de l’homme ?
L’homme se réduit-il à la conscience?
La conscience est-elle intentionnelle ?
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Dissertations corrigés de philosophie pour le lycée
Catégorie : La conscience
La conscience, cette réalité intérieure qui nous permet de ressentir, de penser et de percevoir, est l’un des mystères les plus profonds de l’existence humaine. En se penchant sur la nature de la conscience, la philosophie nous invite à explorer les frontières entre la réalité objective et la subjectivité, à examiner les liens entre la pensée et la perception, et à questionner les fondements de notre compréhension du monde.
L’homme est-il un étranger à lui même ?
L’homme, en quête de sens, se confronte souvent à sa propre identité, oscillant entre connaissance de soi et mystère intérieur. Est-il un être pleinement conscient ou un inconnu pour lui-même, emporté par des facettes insoupçonnées ? Cette interrogation questionne notre capacité à cerner véritablement ce que nous sommes.
- Dissertations
- La conscience
D’où viennent nos connaissances ?
La question de l’origine de nos connaissances s’impose comme une problématique cruciale de la philosophie. Cette dissertation aborde-t-elle en scrutant particulièrement les théories empiriste et rationaliste pour mieux appréhender la genèse de notre savoir.
Est-ce par l’intériorité qu’il faut définir l’esprit ?
Notre dissertation interroge sur la nature de l’esprit : faut-il le définir par l’intériorité ? À travers cette énigme, nous plongerons dans l’étude des concepts de conscience, de subjectivité et d’introspection.
Désirer, est-ce nécessairement souffrir ?
Dans un élan d’interrogation métaphysique, on questionne la nature du désir en lien avec la souffrance. Désirer, est-ce nécessairement souffrir ? Voilà une problématique qui pousse à étudier la dimension existentielle du désir, et sa fusion intrinsèque avec la douleur.
Choisir, est-ce renoncer à sa liberté ?
La dissertation suivante analysera la problématique : choisir est-ce renoncer à sa liberté ? Nous tenterons de répondre à cette question en passant en revue différents points de vue philosophiques sur la liberté et le choix.
Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ?
Approcher la question « Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ? » veut nous amener à réfléchir à la corrélation entre subjectivité et fiabilité de la vérité. Cette dissertation analysera cette problématique stimulante depuis diverses perspectives philosophiques.
Comment puis-je savoir qui je suis ?
Nous aborderons ici une question essentielle : Comment puis-je savoir qui je suis ? Cette interrogation profonde nous incite à envisager notre propre identité à travers diverses perspectives, depuis un regard intérieur jusqu’à l’impact de notre environnement social.
Avons-nous le choix d’être libre ?
La notion de liberté soulève d’interminables questionnements, et le choix d’être libre entrelace l’ontologie de l’existence et l’éthique du comportement. Dans cette dissertation, nous tenterons d’interroger ce concept complexe et profond.
En quel sens les mots nous apprennent-ils à penser ?
La dissertation qui suit se penche sur l’interrogation suivante : en quoi les mots nous instruisent-ils à penser ? Nous analyserons d’abord la nature intrinsèque du langage, puis l’impact des mots sur notre processus de réflexion.
Connaissons-nous immédiatement le réel ?
Dans ce travail de réflexion philosophique, nous allons nous interroger sur le lien entre la connaissance et la réalité. Est-ce que nous connaissons immédiatement le réel ou notre compréhension de celui-ci est-elle filtrée ou indirecte ?
A-t-on besoin de certitudes pour agir ?
La question « A-t-on besoin de certitudes pour agir ? » nous invite à réfléchir sur l’interaction entre notre connaissance du monde et notre capacité d’action. Cette dissertation philosophique analysera comment la certitude influe sur nos actions.
Est-ce par la conscience qu’il faut définir l’homme ?
En se penchant sur la question « Est-ce par la conscience qu’il faut définir l’homme ? », cette dissertation philosophique s’efforce de comprendre si l’essence de l’homme réside réellement dans sa capacité à examiner son existence et ses actions.
Est-ce toujours par ignorance que nous commettons des erreurs ?
La dissertation philosophique qui suit s’interroge sur le lien entre ignorance et erreur. Est-ce que nos erreurs sont toujours le reflet de notre ignorance? Cette question conduit à une réflexion approfondie sur la nature humaine et l’origine de nos fautes.
Doit-on considérer les êtres vivants comme des choses ?
La dissertation suivante se propose à analyser la délicate question de la place des êtres vivants dans notre univers: sont-ils des entités à part entière ou simplement des objets à notre disposition ? Delicate débat à trancher entre éthique, philosophie et sensibilité.
Dans la passion suis-je moi-même ?
La dissertation philosophique qui suit s’interroge sur la notion de « moi » dans le contexte des passions. En s’émouvant, l’individu perd-il son identité, sa quintessence, ou au contraire, se réalise-t-il pleinement ?
Accomplir tous ses désirs, est-ce une bonne règle de vie ?
Le désir est une ardente quête de satisfaction qui stimule l’existence humaine. Pourtant, l’idée d’accomplir tous ses désirs comme règle de vie soulève des interrogations. Cet essai philosophera sur la pertinence et les éventuelles conséquences de cette assertion.
Connaître est-ce nécessairement expliquer ?
La question « Connaître est-ce nécessairement expliquer ? » se penche sur le rapport entre la compréhension et l’interprétation. Raisonner, comprendre et décrire peuvent-ils être dissociés de l’explication? Cette interrogation met en relief le processus et la finalité de l’acquisition du savoir.
De quel bonheur sommes-nous capables ?
La dissertation sur « De quel bonheur sommes-nous capables? » initie une réflexion profonde sur la nature et les limites du bonheur humain. Elle questionne notre capacité à atteindre un bonheur authentique et durable, au-delà des plaisirs passagers et superficiels.
Bien parler, est-ce bien penser ?
Aborder la philosophie de la communication implique d’interroger le lien entre langage et pensée. La question « Bien parler, est-ce bien penser ? » nous invite à examiner ce rapport entre l’excellence de l’expression orale et la qualité de la réflexion intellectuelle.
Agir selon sa conscience, est-ce agir selon ses valeurs personnelles ?
La question « Agir selon sa conscience, est-ce agir selon ses valeurs personnelles ? » nous invite à examiner la relation complexe entre la conscience et les valeurs personnelles dans notre comportement et nos décisions.
La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ?
Dissertation complète, après correction. Note obtenue : 18/20. Appréciation : «Travail excellent. Une qualité d'analyse évidente.»
Selon Confucius, "La conscience est la lumière de l'intelligence qui permet de distinguer le bien du mal". Or, il n'est pas précisé si cette capacité de discernement est une force ou une faiblesse pour l'homme. De même, l'on peut être amené à se demander si la possibilité de se saisir soi-même, et d'avoir connaissance de ses actes, pensées et sentiments correspond à une liberté ou à une contrainte pour l'être humain. Ainsi, la conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Cette question nous pousse à nous demander si : en absence de tout sens moral, serions nous plus libres ? La conscience de soi, et du monde, engendre t-elle la souffrance ? La capacité de l'homme à juger ses actes est-elle à l'origine de sa liberté ? Si nous ne pouvions avoir conscience du monde qui nous entoure, ni de nos actes, aurions-nous moins de contraintes ? La conscience, qu'elle soit source de contrainte ou de liberté, semble être le fondement de la vie en société. L'enjeu de cette réflexion est donc la cohésion sociale. Nous étudierons tout d'abord la conscience comme origine de la liberté, pour ensuite se demander quelles sont les contraintes qu'elle impose à l'être humain. Au terme de cette réflexion, nous pourrons prendre position de manière plus affirmée dans la dernière partie du raisonnement.
Pour étudier la conscience en tant qu'origine de la liberté, il convient tout d'abord de dissocier deux types de conscience : la conscience psychologique, qui permet à chaque être humain d'avoir connaissance de lui-même, de ses actes et pensées, ainsi que du monde qui l'entoure. La conscience morale, quant à elle, est la faculté qu’a l’homme de discerner le bien du mal, de juger les autres, ou soi-même. La première, en rendant l’homme conscient de lui-même et des autres, ainsi que de ses actes, lui permet un retour sur lui-même. Ce retour rend possible l’analyse du passé et l’anticipation du futur à un instant présent. Cette triple dimension oblige chaque être humain à avoir connaissance des conséquences de ses actes, que ce soit à court ou long terme, ce qui le rend responsable de son comportement. Or, cette responsabilité prouve que chaque homme peut choisir sciemment ses actes, en toute connaissance de cause, il est donc libre de choisir. La conscience psychologique semble donc être à l’origine de la liberté de choix caractéristique de l’être humain. Ensuite, la conscience morale, définie par Rousseau comme « le juge infaillible du bien et du mal, qui rend l’homme semblable à Dieu », correspond à la capacité de jugement présente chez l’homme. Rousseau décrit cette faculté comme un principe inné, de justice et de vertu, comme une impulsion primitive, qui est à l’âme ce que l’instinct est au corps. Cette impulsion, ce principe, régi par nos valeurs morales, permet donc un choix immédiat, conforme à nos aspirations. Le fait d’être doté de cette faculté de discernement immédiate qu’est la conscience morale, confère donc à l’homme une liberté quasi-totale de choix. La capacité de l’homme à juger ses actes semble donc bien être à l’origine de sa liberté.
De plus, selon Freud, la conscience n’est qu’une partie négligeable de l’esprit, régi principalement par les pensées ou les actes inconscients, tels les lapsus ou les rêves. Or, il affirme qu’aucun homme ne peut avoir de prise sur cette partie de son esprit, comme il en a sur la conscience. L’acte inconscient, indépendant de sa volonté, n’est donc pas choisi, alors que la conscience, quant à elle, est la source d’une liberté véritable. Sartre, bien qu’opposé à la théorie de Freud, appuie également cette thèse selon laquelle la conscience est à l’origine de la liberté. Au contraire de Freud, il affirme que tous les actes et les pensées d’un individu sont conscients. Donc l’homme selon Sartre est radicalement liber car il est conscient.
Nietzsche appui également cette théorie, en définissant la conscience comme l’élément permettant à l’être humain de connaître et d’exprimer ses besoins en toute liberté. La conscience selon Nietzsche élève donc l’homme en lui conférant ce statut d’homme libre, capable d’élaborer des stratégies de groupe grâce à ce réseau de communications qu’est la conscience.
Au terme de cette première réflexion, la conscience, en permettant à l’homme d’avoir connaissance de lui-même ainsi que du monde qui l’entoure, semble être la source de la liberté de choix inhérente à l’individu. Cependant, cette volonté peut-elle réellement être qualifiée de libre ? Les facteurs extérieurs, interférant avec la conscience, ne constituent ils pas des barrières, des contraintes ?
Ainsi, la conscience psychologique, qui peut être à l’origine d’une certaine liberté confronte néanmoins l’individu à son passé et à son avenir. Cette confrontation peut être la source d’une réelle souffrance, d’une angoisse existentialiste. Cette angoisse peut se manifester par des remords, des regrets, de la mauvaise conscience, ou même des doutes face à l’avenir. Par exemple, un individu qui doute en permanence de la pertinence de ses choix, de leur impact dans le futur, peut se retrouver comme bloqué, en pouvant plus avancer. La conscience que chaque être a de soi et du monde peut donc être à l’origine d’une terrible souffrance, et la conscience se matérialise alors comme une barrière qui empêche d’avancer, une réelle contrainte.
De plus, l’origine de la conscience peut avoir des répercussions sur la liberté présupposée qu’elle confère à l’être humain. Ainsi, Marx, en définissant la conscience comme un produit social, annihile cette notion de liberté propre à l’individu. En effet, selon lui, la conscience apparaît chez chaque homme à l’issue d’un processus de création. La conscience serait donc constituée d’un ensemble de notions pré formatées, inculquées par la société jusqu’à ce qu’elles deviennent partie intégrante d’un individu. Or, si les valeurs morales selon lesquelles chaque individu pense et agit ne sont pas les siennes, mais celles de la société, on ne peut donc pas considérer sa conduite comme libre. Le comportement de chaque être humain apparaît donc comme régi par la société dans laquelle il a évolué. Ainsi, dans certaines sociétés, une conduite peut apparaître comme honteuse ou inavouable, alors que dans d’autres elle sera considérée comme normale et légitime. Dans ce cas, l’individu qui ne se sent pas conforme aux valeurs morales que lui a inculqué la société peut se sentir rejeté, et voir s’opérer une rupture du lien social. Si comme l’explique Marx, « la conscience est d’emblée un produit social », elle peut donc constituer une contrainte au plein épanouissement de l’individu. Donc, il semble qu’en absence de tout sens moral, l’être humain serait plus libre qu’il ne l’est en possédant une conscience.
Mais, la conscience ne traduit pas uniquement les valeurs morales inculquées par la société. Elle est aussi l’expression des idéaux et des interdits parentaux comme l’affirme Freud. Selon lui, l’intériorisation des exigences et limites parentales, qui équivaut au Sur-Moi, constitue la conscience. Le Sur Moi, en quelque sorte l’idéal selon lequel chaque individu se rêve, peut être à l’origine d’une terrible souffrance. Ainsi, lorsque le sujet prend conscience de l’écart entre son Sur Moi et sa réalité physique et psychique, il peut s’ensuivre deux réactions : le déni, correspondant au bovarysme, ou le sentiment d’échec. Or, toutes deux conduisent à une réelle souffrance. L’homme peut donc vivre avec cette conscience comme avec un fardeau.
De plus, selon Alain, tout acte de conscience correspond à un jugement, c'est-à-dire une activité morale. Or d’après lui, le jugement est formaté par la société, la religion, la culture, l’éducation de chaque individu. Alors, on peut s’interroger sur la valeur réelle de ce jugement, et donc, de l’existence d’une volonté libre chez chaque individu . Or, si cette volonté libre n’existe pas, la conscience se matérialiserait donc comme un frein au bien être de chaque individu, comme une contrainte l’empêchant d’agir librement. Ainsi, si nous n’avions conscience du monde qui nous entoure, nous aurions vraisemblablement moins de contraintes. Par exemple, dans le cas d’autisme, ou de folie, l’individu n’ayant pas conscience du monde extérieur, sa conscience morale se développe sans l’influence de la société, des parents ou de tous les facteurs extérieurs. Le sujet ne possède donc pas les mêmes valeurs morales que ses concitoyens, à l’image d’un enfant dont la conscience n’a pas encore été formatée.
Au terme de ce développement, nous pouvons nous positionner en faveur de l’idée selon laquelle la conscience serait une source de contraintes. En effet, même si la conscience permet une certaine liberté de choix, celle-ci n’est que relative, car la conscience semble être de l’ordre de l’acquis. Comme le dit Durkheim : « A travers notre conscience, nous obéissons à cette réalité sociale qui nous forme ». Ainsi, chaque individu n’est pas libre, mais régi par des valeurs morales qui ne sont pas les siennes, mais au contraire, celles de la société qui l’a éduqué. Alors, la conscience constitue une contrainte à l’expression libre de ses pensées, de ses besoins, et à la réalisation absolue de ses actes.
Cette idée selon laquelle la conscience morale constituerait une contrainte est confirmée par la théorie de Freud, théorie selon laquelle il existerait un inconscient, contenant toutes les pulsions, les évènements refoulés par la conscience car contraires à nos aspirations morales. Ainsi, l’existence de l’inconscient prouve que la conscience constitue une contrainte au développement et à l’épanouissement de chaque individu, en empêchant l’expression libre des pensées et sentiments en désaccord avec ses aspirations morales.
Au contraire, l’absence de conscience signifierait l’absence de barrières morales. L’instinct reprendrait donc le dessus sur la conscience, et le comportement de chaque individu serait régi non plus par les valeurs inculquées par la société, mais par les instincts primitifs de l’homme. Ainsi, dans une logique de survie, comme par exemple en temps de guerre, l’homme peut agir sans contraintes et obéir à ses pulsions primitives. Par exemple, lors d’un crash aérien dans les Andes pendant les années 1970, les rescapés ont été contraints, pour survivre de se livrer à l’anthropophagie. Tous ont confirmé que cette pratique était contraire à leurs valeurs morales, mais que leur instinct avait prédominé sur leur conscience. Ainsi, dans un contexte particulier, tout homme peut se retrouver libéré de toute contrainte d’ordre moral, mais cela n’a lieu que lorsque la conscience s’efface pour laisser place à l’instinct. Donc il semble fortement que la conscience soit une source de contrainte.
En conclusion, il apparaît comme vraisemblable que la conscience soit la source d’une certaine liberté de choix chez l’être humain. Cependant, ces choix sont régis par des valeurs morales, à travers lesquelles, chez chaque individu, différents facteurs extérieurs s’expriment. Donc tout homme est guidé par une conscience qui n’est pas la sienne dans sa totalité. Ainsi, en absence de tout sens moral, nous serions vraisemblablement plus libres. Cependant, c’est bien la capacité de l’homme à juger ses actes qui est à l’origine de sa liberté. La conscience de soi, et du monde, peut néanmoins, dans certains cas, engendrer la souffrance. Et si, nous ne pouvions avoir conscience du monde qui nous entoure, nous aurions visiblement moins de contraintes. Donc la conscience est source de contrainte chez l’être humain. Cependant, ces contraintes sont indispensables à la vie en société, et permettent le respect des libertés de chacun. L’enjeu de cette réflexion était donc bien la cohésion sociale. Cependant, si la conscience est source de contraintes d’ordre moral, peut on pour autant affirmer que les criminels qui agissent de sang-froid ne possèdent pas ces valeurs morales, et donc que leur esprit est dépourvu de conscience ?
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